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77Gaîté
79Jussieu

78. Assomption, réel 4

mars 1972

Lundi 15 mai
9 h 40

Rue de Seine

Rue Jacob

Rue de Montalembert

Rue du Bac

de Babylone

Oudinot

Traversée du boulevard des Invalides, passage de troupes gantées de blanc

Rue Éblé1

Place de Breteuil

Rue Valentin-Haüy

11 h 30 métro Cambronne

Passy2

Rue de l’Alboni

Rue de Passy

Boulevard Beauséjour

Mamy

12 h 15 Assomption3

Des filles sortant du lycée ?4

85

« Laverie-Pressing de l’Assomption »

82

Immobilier
Orfèvrerie

65

À vendre parkings

62

Pressing
Coiffure dames

60

Boulangerie

59

« Mozart 59 », brasserie

58

« Nano chaussures »
« Optique Mozart »

56

« Hôtel du Ranelagh »

54

« Boucherie de l’Assomption »

33

Pressing
Boucherie chevaline
Droguerie
« Esthétichien 5 »
Tapissier

50

Agence immobilière
Pharmacie

48

« L’Océan »
Appartements meublés6

46

Antiques

44

Épicerie fine « Jean-Michel »
Coiffure

40

Librairie
Le lycée Molière

 

Le lycée Molière

 

27

Laverie
Tailleur

 

Fleurs mauves derrière les grilles du lycée

Rue vide

 

32

F. Clin et E. Dama, « Laboratoire d’analyses médicales »

22

à vendre 4 pièces au 1er
2 pièces au 2[n]d

 

Ravalement du 20 ter, bis et 267

Paquet de Craven A empalé sur la grille du 16

Fleurs rouges devant la maisonnette du 11

Le 7 à l’abandon

Trou à l’emplacement du 4 bis

« Prochaine réalisation [de] studios 2 3 4 pièces8 »

3

Café bar
Tailleur
« La Parisienne »9
Lingerie
Charcuterie

2

 Bar Brasserie Restaurant
NOTES

1 Perec aurait pu emprunter une autre rue que celle-ci dans cette partie de son itinéraire (par exemple la rue Duroc) – en outre, il ne nomme évidemment pas toutes les rues de cette longue promenade ; mais on sait que le personnage du général d’Empire Jean-Baptiste Éblé le passionnait (au point, revenant de Sarrebruck à Paris en mars 1971 dans la voiture de Philippe Drogoz, de demander à ce dernier de faire un détour par le village natal du général, Saint-Jean-Rohrbach – voir EE, p. 144 – et, selon Paulette Perec, d’aller régulièrement voir sa statue dans une des niches de la façade du Louvre rue de Rivoli quand il passait à proximité – PGP, p. 85) ; de plus, Perec eut le désir d’écrire sa vie (voir L’Herne, Georges Perec, 2016, p. 182).

2 Il faut sans doute comprendre ici que Perec a pris la ligne 6 du métro de Cambronne à Passy.

3 Cet itinéraire ne figure pas dans le texte publié, qui commence ainsi : « Lundi 15 mai 1972, vers midi et demie (après être allé voir ma tante qui habitait alors boulevard Beauséjour) » ; pour « Mamy », voir le texte 1, n. 10.

4 Point d’interrogation absent du texte publié. La réponse vient plus bas : il s’agit du lycée Molière (dont Perec ne se rappelle plus le nom déjà dans le texte 3).

5 Souligné dans le manuscrit (« Esthétichien ») ; en majuscules dans le texte imprimé (« EsthétiCHien »).

6 Ajouté dans la marge droite du texte après répétition de « 48 ».

7 Var. texte publié : « On est en train de ravaler l’immeuble qui porte les n° 20 ter, 20 bis et 20 ».

8 Dans le texte publié, cette reproduction d’un panneau publicitaire est imitée typographiquement mais porte « STUDIOS DE 2 3 4 PIÈCES » (ce qui manque de sens).

9 Voir le texte 18, n. 16.

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